Sometimes referred to as “visual pollution,” pichação is a style of graffiti lettering that has become a defining part of the urban landscape of Sao Paulo, Brazil’s mega-city and business capital. It’s not art — neither street art nor “graffiti art” — but the style has a distinctive identifiable typographic aesthetic that is, as a New York Times article explains, “eerily reminiscent of Scandanavia’s ancient runic writing.” Pichação is a blight on the city’s buildings, but also represents a sub-culture of underclass activism and symbolizes the struggles and social ills of the city’s poor, disenfranchised populations in the face of Brazil’s increasing economic prosperity. The Times has produced a short-form video doc about it that’s worth checking out.
Parfois appelé «pollution visuelle», pichação est un style de lettrage graffiti qui est devenu un élément déterminant du paysage urbain de São Paulo, Brésilméga-ville et capitale économique. Ce n’est pas l’art – ni art, ni de la rue “l’art du graffiti” – mais le style est une esthétique distinctive typographiques identifiablesqui est, comme le New York Times explique, “rappelle étrangement l’écriture runique Scandanavia ancienne.” Pichação est un fléau sur les bâtiments de la ville, mais représente également une sous-culture de militantisme sous-prolétariatet symbolise les luttes et les maux sociaux des pauvres de la ville, les populationsprivées de leurs droits dans le visage du Brésil à la prospérité économique croissante. Le Times a publié un court-doc sous forme de vidéo à ce sujet qui vaut la peine de vérifier.